Mon cher cousin, mon cher Francky
Jamais je n’aurai pensé que nous nous disions adieu le 19 juin dernier lorsque discutions dans le jardin et que tu me racontais comment tu allais repérer les points de support logistique pour le Chemin de Compostelle de Maria.
Je souriais devant ta voiture habilement aménagée et les moyens ingénieux que tu avais mis en place pour ne manquer d’aucun confort minimum quand tu devais dormir dedans…
Tu avais l’air heureux… je l’étais aussi…
Ce chemin, Maria va devoir le continuer sans toi… puisse-t-elle y trouver tout le réconfort nécessaire.
J’ai accroché mon cœur au tien lorsque j’étais tout jeune et maintenant que le tien s’arrête… le mien souffre… soudain privé de ce lien rassurant et joyeux…
J’espère te retrouver là-haut quand le moment sera venu… en attendant je te remercie pour ta gentillesse, ta joie, ton regard, ta bienveillance, ta générosité et ton humilité… qui continuent de me guider et me soutenir.
Embrasse tes parents et mon papa
Au revoir mon cousin, au revoir Francky
Philippe